Femme et contracéption
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Femme et contracéption
La contraception oestroprogestative par la pilule.
Elle associe un oestrogène et un progestatif. L’objectif est de
maintenir ces deux hormones à un taux constant, pour bloquer
l’ovulation. La pilule pour cela, doit être prise à intervalles
réguliers, chaque jour à la même heure. Le rythme de prise permet en
outre d’obtenir des saignements menstruels réguliers « comme des
règles ». Certaines pilules ne renferment qu’une hormone progestative,
pour les femmes ayant des contre indications à la prise d’oestrogènes ;
L’anneau contraceptif vaginal
renferme aussi un oestrogène et un progestatif. Flexible et
transparent, il mesure 5,33 cm de diamètre. Il est posé par la femme
elle-même dans le vagin pour 3 semaines, apportant une efficacité
contraceptive comparable à celle de la pilule ;
Le patch contraceptif délivre les hormones à travers la peau. Collé au bas de l’abdomen ou sur une fesse, il doit être changé chaque semaine ;
Le dispositif intra-utérin (DIU)
est une méthode de première intention, y compris chez les femmes qui
n’ont jamais eu d’enfant, dans certaines conditions. Appelé aussi stérilet
dans le grand public ce petit objet - de 3 cm environ – est en
plastique souple recouvert de cuivre. Il est placé par un médecin dans
l’utérus. Il autorise l’ovulation, mais empêche l’implantation de l’œuf
fécondé ;
Le SIU ou -système intra-utérin- hormonal
comporte un fin réservoir qui libère pendant 5 ans une hormone
progestative, qui rend la glaire cervicale infranchissable par les
spermatozoïdes et qui modifie la muqueuse utérine. C’est un vrai
progrès : le SIU en effet, est encore plus efficace que les DIU au
cuivre de dernière génération ;
L’implant contraceptif fait
partie des méthodes progestatives. C’est un dispositif sous-cutané.
Constitué d’un bâtonnet inséré à la face interne du bras non-dominant
par un médecin formé à cette technique. Il bloque l’ovulation en
libérant de manière continue un progestatif ;
Les spermicides se présentent
sous la forme de gelées, de crèmes ou de mousses. En vente libre dans
les pharmacies, ils sont introduits dans le vagin avant chaque rapport.
Ils peuvent être utilisés seuls – avec une efficacité de 70% à 80%- ou
en association avec un diaphragme ou une cape contraceptive ;
Le diaphragme justement, se
présente sous la forme d’une très fine coupelle en caoutchouc, de 5 à
10 cm de diamètre et aux pourtours fermes et flexibles. La cape
elle, est une sorte de capuchon destiné à recouvrir le col de l’utérus.
Ces deux méthodes assimilées à des barrières, sont très peu utilisées
en France ;
La contraception d’urgence, ce
que l’on appelle la pilule du lendemain, est à part. Cette
contraception d’urgence doit être utilisée en cas de rupture du
préservatif par exemple, ou en cas d’absence ou d’oubli de la
contraception. Dans tous les cas, elle doit être prise le plus tôt
possible après le rapport non protégé.
Soulignons enfin qu’aucune de ces méthodes ne protège des infections sexuellement transmissibles . Le seul et unique rempart est bien sûr le préservatif.
Ou plus exactement les préservatifs, masculin et féminin.
Source : Etude Safe réalisée de janvier à juin 2006 auprès de 11 490 Européennes de 15 à 49 ans ; Ministère de la Santé
Elle associe un oestrogène et un progestatif. L’objectif est de
maintenir ces deux hormones à un taux constant, pour bloquer
l’ovulation. La pilule pour cela, doit être prise à intervalles
réguliers, chaque jour à la même heure. Le rythme de prise permet en
outre d’obtenir des saignements menstruels réguliers « comme des
règles ». Certaines pilules ne renferment qu’une hormone progestative,
pour les femmes ayant des contre indications à la prise d’oestrogènes ;
L’anneau contraceptif vaginal
renferme aussi un oestrogène et un progestatif. Flexible et
transparent, il mesure 5,33 cm de diamètre. Il est posé par la femme
elle-même dans le vagin pour 3 semaines, apportant une efficacité
contraceptive comparable à celle de la pilule ;
Le patch contraceptif délivre les hormones à travers la peau. Collé au bas de l’abdomen ou sur une fesse, il doit être changé chaque semaine ;
Le dispositif intra-utérin (DIU)
est une méthode de première intention, y compris chez les femmes qui
n’ont jamais eu d’enfant, dans certaines conditions. Appelé aussi stérilet
dans le grand public ce petit objet - de 3 cm environ – est en
plastique souple recouvert de cuivre. Il est placé par un médecin dans
l’utérus. Il autorise l’ovulation, mais empêche l’implantation de l’œuf
fécondé ;
Le SIU ou -système intra-utérin- hormonal
comporte un fin réservoir qui libère pendant 5 ans une hormone
progestative, qui rend la glaire cervicale infranchissable par les
spermatozoïdes et qui modifie la muqueuse utérine. C’est un vrai
progrès : le SIU en effet, est encore plus efficace que les DIU au
cuivre de dernière génération ;
L’implant contraceptif fait
partie des méthodes progestatives. C’est un dispositif sous-cutané.
Constitué d’un bâtonnet inséré à la face interne du bras non-dominant
par un médecin formé à cette technique. Il bloque l’ovulation en
libérant de manière continue un progestatif ;
Les spermicides se présentent
sous la forme de gelées, de crèmes ou de mousses. En vente libre dans
les pharmacies, ils sont introduits dans le vagin avant chaque rapport.
Ils peuvent être utilisés seuls – avec une efficacité de 70% à 80%- ou
en association avec un diaphragme ou une cape contraceptive ;
Le diaphragme justement, se
présente sous la forme d’une très fine coupelle en caoutchouc, de 5 à
10 cm de diamètre et aux pourtours fermes et flexibles. La cape
elle, est une sorte de capuchon destiné à recouvrir le col de l’utérus.
Ces deux méthodes assimilées à des barrières, sont très peu utilisées
en France ;
La contraception d’urgence, ce
que l’on appelle la pilule du lendemain, est à part. Cette
contraception d’urgence doit être utilisée en cas de rupture du
préservatif par exemple, ou en cas d’absence ou d’oubli de la
contraception. Dans tous les cas, elle doit être prise le plus tôt
possible après le rapport non protégé.
Soulignons enfin qu’aucune de ces méthodes ne protège des infections sexuellement transmissibles . Le seul et unique rempart est bien sûr le préservatif.
Ou plus exactement les préservatifs, masculin et féminin.
Source : Etude Safe réalisée de janvier à juin 2006 auprès de 11 490 Européennes de 15 à 49 ans ; Ministère de la Santé
Re: Femme et contracéption
Ça n'empêche que la pilule est encore le contraceptif le plus utilisé et le plus répandu.
Les autres choix sont très bon, pour celles qui évite de consommer les doses d'hormones.
Les autres choix sont très bon, pour celles qui évite de consommer les doses d'hormones.
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